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Pourquoi passons-nous notre vie à juger ? PNL

Pourquoi passons-nous notre vie à juger, à comparer, à critiquer, à interpréter …?

 

LE JUGEMENT

Quel est ce mécanisme qui nous pousse à juger en permanence ce que fait ou ne fait pas notre voisin, notre ami, notre collègue, notre mari…

 

Nous avons pourtant souvent eu l’occasion d’expérimenter combien le jugement délimite, étiquette, enferme, il étrique le « jugé » et pollue et emprisonne-le « jugeant ».

 

Qui sommes nous pour croire et penser un seul instant que notre expertise est meilleure ou moins performante que celle de « l’autre » ? un manque de confiance camouflé, inavoué, un besoin de reconnaissance et d’approbation extérieure,  une forme de jalousie…les raisons sont sans doute multiples mais infondées et sans socle réel car lorsque l’on se permet de juger autrui on oublie rapidement que c’est nous que nous jugeons en premier, cet effet miroir dérangeant que nous n’avons pas envie d’affronter, de conscientiser est pourtant bien présent dans nos vies quotidiennes.

 

Il nous renvoie souvent à cette face cachée de nous-même, que pour des raisons qui nous appartiennent, ne nous donne pas envie de mettre en lumière ce aurait besoin de  l’être et par conséquent cet « autre » pourrait  être un merveilleux « outil » de transformation et de développement si nous pouvions l’appréhender de cette manière.

 

LA COMPARAISON

Nous n’avons de cesse de comparer nos compétences, expertises ou tout autre forme d’unicité avec ce qui existe déjà autour de nous,  avec ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas, en prenant rarement un petit ou long moment d’introspection qui nous consentirait  de poser un autre regard sur nous et les autres, une minute de bienveillance, de compassion, de gratitude pour ce chemin que nous empruntons ou plutôt que nous avons CHOISI d’emprunter, car notre « voisin », celui que l’on juge, à qui l’on se compare  n’a rien à voir avec nos décisions et nos choix de vie, notre libre arbitre opère en solo.

LA CRITIQUE

Nous nous permettons de critiquer sans avoir TOUS les tenants et les aboutissants, par dépit parfois, par jalousie souvent, sans connaitre véritablement la pointure des chaussures de notre interlocuteur, du « critiqué », cette attitude vous semble-t-elle enrichissante ? nourrissante ? congruente ? que va-t-elle apporter de concret et de sain dans votre propre développement personnel, dans votre face à face avec vous-même, vous êtes – vous déjà posée la question ? En quoi ce comportement peut-il vous faire évoluer et vous aider à transformer ce qui a besoin de l’être et favoriser l’expansion de votre conscience et confiance….

 

L’INTERPRETATION

Quant aux interprétations « hâtives » qui barricadent immédiatement toute forme de partage, de dialogue, elles construisent des ponts entre les êtres mais qui ne servent pas à les aider à traverser mais plutôt à les isoler.

 

En interprétant sans donner à l’autre la possibilité d’exprimer son point de vue, on bloque l’Energie qui aurait pu couler de façon fluide et spontanée s’il y avait eu de la place pour un échange verbal cordial et respectueux, iI n’y a alors plus d’espace pour une explication saine, car notre mental s’est habillé de l’étiquette de l’interprétation et il  nous emmène sur sa trajectoire de prédilection, vers des pensées générant de l’amertume, de la mélancolie voire de la colère démesurée, il s’est fait son petit film amateur en caméscope et hop la en route Simone….

 

Se comparer, juger, critiquer et interpréter peuvent nous diriger de manière insidieuse vers la dévalorisation, le manque de confiance en soi, vers la rancœur injustifiée comme le petit ver dans la pomme qui va prendre tout son temps pour la pourrir.

 

Alors de grâce croquez la vie à pleines dents et laissez certains verbes du 1er groupe de côté…Choisissez plutôt aimer – respecter – gratifier et tous ceux susceptibles de générer de la paix en vos cœurs et en vos relations …

 

Remerciez les expériences car elles sont un tremplin pour nos prises de conscience, j’ai moi-même comparé, jugé, critiqué et interprété et je mesure aujourd’hui, en ce jour de nouvelle lune, les dégâts que cela peut causer, c’est pourquoi j’ai pris la liberté d’écrire ces quelques lignes sur le sujet.

 

 

With my Endless Love

Eliane Deniau Roussel ©

 

 

 

MEMOIRE DE VIE 7

MEMOIRE DE VIE 7

 

Elle fonctionnait souvent de cette manière « cette petite » il lui fallait tomber très bas pour sentir sous ses pieds la terre se dérober mais lui donner peu après l’impulse de rebondir, de surcroit petit clin d’œil  …sa supérieure hiérarchique se nommait Die oui ChrisT iane Die, On y trouve le Die de la Mal a Die et le « T » du ChrisT , de notre divinité intérieure…

Elle se sentait si vide, mais être vide ce n’est pas être non-existant c’est être juste dépourvu d’identité permanente, la métaphore était plutôt rassurante…Alors elle se mit à observer plus ce « véhicule terrestre », à écouter plus, à ressentir encore plus qu’elle ne l’avait fait auparavant, elle l’avait tant de fois négligé, méprisé …

Elle fit un premier lien avec « la dictature » du père et sa hiérarchie, elle s’aperçut que le modèle qu’elle eut sous les yeux pendant toutes ces années dans son cadre professionnel lui rappelait étrangement et fortement ce qu’elle avait à  acquitter et à pardonner à l’autorité de ce père « défaillant », une colère sourde et sèche s’installa en elle, elle décida de la mettre à l’extérieur en écrivant une lettre au papa absent qui l’avait tant niée, les mots étaient sévères,  malveillants, l’hostilité,  la rancœur et la rancune avaient même une odeur, tant le poison qui sortait de ses lignes était fielleux et amer…elle ne lui envoya Jamais…

Ceci étant elle put constater quelques jours plus tard avec une joie intense, que ce « patriarche » commença à prendre des  nouvelles de sa santé très régulièrement, chose qui n’était jamais arrivée depuis des décennies, (car pour les parents de la vieille école ce sont les enfants qui appellent les « anciens » pas le contraire…), une bienveillance et une compréhension se sont alors installées peu à peu durant leurs échanges téléphoniques récurrents….le pouvoir de la maladie les aurait -il rapprochés ?

Une infinie gratitude s’empara de son cœur, dans un brouillard épais d’incertitude, une première transformation avait vu le jour, ce père lointain et qui lui avait toujours semblé « intouchable » venait de lui dire je t’aime !

AU FIL DES MOIS…

Au fil des mois Elle eut l’immense joie de s’apercevoir que leurs discussions n’étaient plus unilatérales mais qu’une vraie écoute et compréhension s’installaient naturellement et progressivement entre eux et que même les termes les plus improbables à prononcer pour ce père « cartésien » tels que source, conscience, vibration, énergie, projet sens Etc.….revêtaient une couleur particulière, jamais une seule seconde elle n’aurait pu imaginer qu’une telle complicité aurait pu Re-naitre au sein de sa propre Re- naissance,

 

C’était pourtant une des clefs du trousseau qui lui avait manquée pendant toutes ces années, enfermée dans une croyance inappropriée de ne pas être aimée, elle se sentait finalement, écoutée, entendue, respectée, reconnue dans son manteau d’adulte et s’apprêtait en confiance à  franchir le virage de toute une vie et ce dans l’amour dévoilé sans pudeur. Il était pourtant toujours le même, c ‘est mon regard qui avait évolué, mon affection, ma tendresse, ma tolérance et ma compréhension face aux mêmes événements, situations ou comportements qui se baignaient désormais dans un amour sans conditions et c’est dans cette bulle de lumière transparente que nos échanges avaient maintenant lieu….

 

En effet, sa rancœur, son exaspération face à tout, son intolérance et sa colère n’étaient point miennes mais faisaient bien partie de son chemin à lui, je n’avais pas à m’y associer ni à m’y confronter, je n’avais aucune obligation de partage ni de loyauté au sujet de ses attitudes ou pensées et je l’avais enfin compris, cela faisait partie de son histoire, de son karma appelez ça comme vous voudrez, en tout cas je n’avais plus aucune envie de croire que j’avais un rôle à y jouer,  j’observais simplement tranquillement je constatais et je me respectais en gardant mon identité sans me fondre dans ce « moule » dans lequel il avait souhaité m’entrainer et m’enfermer depuis toujours;

 

L’irritation était certes bien présente mais ne réveillait aucune douleur aucun mal être, j’étais moi enfin moi face à la différence de l’autre et cela n’avait plus d’impact sur mon propre état de vie lequel demeurait serein face aux changements impromptus de mon « interlocuteur », je validais les pas de géant s’ériger sous mes yeux.

 

La peur d’être jugée selon ce que je faisais ou ne faisais pas avait disparue, j’étais centrée et ancrée et le regard de l’autre ne me faisait plus vaciller. La dictature morale n’opérait plus.

LE CHANGEMENT

Un jour de juillet 2015 date (mois anniversaire du « départ » de la mère cormoran) quand Baudelaire vint revisiter sa poésie « quand  le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle » je fis un choix qui allait radicalement bouleverser ma vie et mes croyances….

 

Portée par le courage de trouver un sens à tout ce cheminement, et à l’aspiration profonde qui Rejaillissait en moi jour après jour, je décidai de mettre un terme à la collaboration professionnelle qui me liait, me soumettait, voire me ligotait à mon employeur depuis 25 ans … par cet acte, je me sentis pour la première fois devenir une Adulte à part entière autonome et indépendante face à son choix , j’étais en train de déprogrammer en pleine conscience le schéma familial : la « peur de manquer », je ressentais le besoin viscéral d’être en alignement avec mes pensées, mes paroles et mes actes, et j’étais en train d’en faire en l’expérience dans ma réalité, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas souri  sans douter de ma profonde sincérité et loyauté envers moi-même.

 

Le sentiment de soulagement et de libération fut immédiat, je choisissais un chemin inconnu, je quittais ma zone de confort pour enfin me relier à ma source, ma vraie nature, je devenais peu à peu, pas à pas, une femme solaire, affranchie, souveraine de son destin, avec un projet sens qui faisait tellement sens à présent ….

 

Mon intuition,  mes dons, mes capacités, ma puissance, tant de fois désavouées par le passé, allaient enfin s’épanouir sur un chemin de réalisation de soi , dans l’estime de Soi, par la confiance en Soi, je percevais très clairement les vibrations subtiles s’installer sous ma peau, comme des messages cadeaux délivrés par mes anges, qui guettaient impatients MON passage à l’acte, je les entendaient me chuchoter l’anagramme « Guérison Soigneur »,  petit clin d’œil à mon lieu d’incarnation d’ailleurs…

 

Les voix/voies devenaient audibles quand les frissons s’invitèrent un à un sous ma peau comme pour entériner mon Ressenti magique, le gout jadis amer de l’inquiétude disproportionnée transportait désormais mes papilles dans un jardin fleuri ou l’on pouvait cueillir en toute liberté des certitudes absolues au parfum immortel ;

PRISE DE CONSCIENCE

Je savais maintenant que les mots thérapies, maladies, peurs et croyances limitantes avaient subi une grande métamorphose, j’allais les nommer guidance, enseignement et expériences que je mettrais à disposition de l’autre pour l’accompagner vers ses desseins les plus subtils, je laissais libre court à ma pépite de s’exprimer dans la bienveillance l’écologie et le respect de qui j’étais devenue.

 

De Victime je permute à Victoire et je suis GAIE et je RIS.♥

 

Je dis alors au revoir à « ce figuier à qui l’on demandait de faire des pommes », j’écoute, je ressens, j’observe, je suis cette intuition aérienne à qui je donne du crédit, je l’incarne, elle m’enlace et me guide vers les secrets de la lumière

 Le chemin de mon évolution m’a fait transmuter mes besoins primaires d’AVOIR vers le sommet de mes besoins secondaires d’ETRE !

 

Aujourd’hui je rends Grace à la MAL A DIE, aux cassures, sans lesquelles le mental aurait continué à régner en maitre absolu, en gouverneur tyrannique, un grand merci à la démocratie de mes cellules d’avoir laissé pénétrer en moi cette Envie de Vie, cette lueur et ces bouleversements qui ont donné le choix à mon Ame D’AGIR et d’être reliée et en harmonie avec mon Moi supérieur. Je me sens libre, lumineuse, lunaire et responsable, les contraintes et les doutes ont laissé place à la légèreté, la fluidité et la douceur. Je suis le ciel et la terre et UNI VERS Elle.

 

Ma révolution intérieure et l’éclosion de ma graine ont été un moteur puissant qui a inoculé à mon environnement ce doux parfum de lâcher prise …. « L’obligation » s’est métamorphosée en indépendance, l’assujettie en délivrée, la superficialité et le paraitre se sont évanouis.

 

La plainte et la peur ont quitté le navire et ont accueilli la Joie de l’instant présent, ici et maintenant et ce quelques soient les circonstances, à chaque leçon son élève assidu, et à chaque élève une place reconnue. L’incarnation est un cadeau qu’il est savoureux de savoir héberger, de chérir pour en jouir.

NOUVELLE DESTINATION

Dorénavant, le mât de ma nouvelle embarcation est en place,  et Pour Naviguer Librement, seul le vent de l’amour des autres et de SOI saura guider ma future destination et souffler ainsi dans la bonne direction.  Le palindrome « Ressasser », qui par définition se lit dans les deux sens a quitté mon vocabulaire.

 

Je me suis offerte la liberté de choisir, permission souvent occultée, j’ai appris à dire Non à ce qui me « violentait ». Le RE SENTI, la sensation, cette clairvoyance subtile et douloureuse à la fois m’a accompagné sur ce sentier en friche qu’est mon être en perpétuel devenir, tous mes sens ont été sollicité pendant cette marche solitaire, ce chemin fabuleux tantôt ensoleillé tantôt pluvieux qu’est la découverte de SOI.

 

Mon courage autant que mes limites sans oublier mes défaillances ont été un tremplin fabuleux pour aider l’oisillon que je suis à quitter le nid confortable, rassurant dans lequel il dormait depuis toutes ces années, mes ailes m’ont emmenée là où je n’aurais jamais osé me poser, chez MOI. Je sens le pouvoir inné de l’accueil envahir mes cellules et lorsque je regarde à l’intérieur j’y vois ma part d’infini et je suis comblée de voir que mes zones d’ombre sont emplies de gratitude.

 

Cette quête a donné lieu à de beaux rendez-vous, à de magnifiques rencontres, je remercie la Vie, je remercie Mes choix d’avoir su, d’avoir pu me guider vers l’AUTHENTICITE.

 

@ELIANE DENIAU ROUSSEL

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C’EST QUOI L’AUTO SABOTAGE ?

C’EST QUOI L’AUTO SABOTAGE ?

L’auto-sabotage, c’est l’ensemble de ces attitudes, habitudes et comportements que nous mettons en œuvre, avec parfois beaucoup de ténacité, et qui, paradoxalement, nous empêchent de faire ce que nous voulons ou avons besoin de faire, et finissent par se retourner contre nous.

Ces conduites et comportements sont plus ou moins conscients, plus ou moins contraignants, plus ou moins répétitifs. Ils constituent une entrave à notre liberté d’être (capacité à aimer, capacité à prendre soin de soi, capacité à pouvoir proposer des relations interpersonnelles saines). Ils sont des obstacles à notre sérénité et à notre bien-être. Vous est-il déjà arrivé une de ces expériences ?

 

Depuis des semaines, vous avez lutté pour avoir plus d’argent. Et enfin, vous avez réussi à gagner cette somme. À ce moment, « par hasard », la machine à laver le linge se casse et l’achat de la nouvelle machine coûte plus ou moins la somme d’argent que vous venez de gagner.

 

Vous êtes en train de vivre une magnifique relation, tout est harmonie, les choses marchent comme sur des roulettes. Tout d’un coup, un sentiment d’insatisfaction vous attaque, et « maladroitement » vous faites quelque chose qui abîme le libre flux de cette relation. Ou pire, vous vous disputez avec votre conjoint. Vous faites alors tout pour vous réconcilier et quelques jours plus tard, « inconsciemment », vous attirez un nouveau conflit.

 

Vous êtes en chômage depuis un certain temps, vous avez un rendez-vous de travail et vous arrivez en retard « à cause » d’une panne de métro. Ou bien, vous obtenez le travail, tout semble bien se passer. Et pourtant, votre période d’essai n’est pas renouvelée.

 

Vous avez du surpoids et vous faites un régime après l’autre. Pourtant, à la première crise d’angoisse vous mangez toute une tablette du chocolat.

 

Vous voulez arrêter de fumer, car vous savez que ça vous fait du mal. Mais quand quelqu’un vous fait une remarque en relation à la cigarette, vous vous mettez en colère. Quelques mois plus tard, quand vous vous arrêtez enfin de fumer, vous apprenez une mauvaise nouvelle et vous fumez une première cigarette pour vous détendre. Et c’est alors reparti, vous ne pouvez plus vous empêcher de fumer.

 

Vous faites du développement personnel, vous avez fait des stages, vous avez lu des livres, mais vous n’avez pas encore transformé votre vie. Après chaque stage, vous n’arrivez pas à mettre en pratique ce que vous avez appris. Même si vous savez quoi faire pour aller mieux, vous n’avez pas la force de le faire dès qu’il y a une situation difficile. Et malgré toutes les techniques que vous connaissez déjà, il vous semble difficile que cela puisse réellement vous aider à transformer votre vie.

 

L’Auto-Sabotage : késako ?

Le système d’Auto-Sabotage est un mécanisme du mental, qui s’oppose au changement et en particulier à votre évolution. Il est constitué croyances, d’attitudes, d’habitudes et de comportements plus ou moins conscients.

 

Ce mécanisme :

 

-vous maintient dans votre zone de confort.
-Vous empêche d’avoir ce que vous voulez.
-vous rend insatisfait, même les fois où vous avez eu ce que vous voulez.

 

Il se présente par une voix intérieure, vous savez bien, cette petite voix qui vous critique ou vous juge, et vous dicte des comportements inappropriés qui vous font échouer. Sa forme préférée pour nous faire frémir ? Nous filer le doute !!!

 

Il est aussi parfois appelé « Critique intérieur », « Juge Intérieur », « Auto-Saboteur »,« Parasite » . Quoi qu’il en soit, qu’il vous empêche d’agir ou qu’il vous pousse à agir de manière inadéquate, c’est avec les blessures, un des freins les plus puissants à votre évolution.

 

Un auto saboteur est semblable à un ami qui s’invite…

…   qui paraît bien intentionné au départ, mais qui, très rapidement, se comporte comme un intrus, se transformant en véritable terroriste qui va, soit contrecarrer les décisions que nous prenons ou les choix de vie que nous faisons, soit nous entraîner dans une direction qui, nous le sentons, n’est pas bonne pour nous, mais que nous ne pouvons pas nous empêcher de prendre !

 

En plus, il est super habile pour avancer des raisons très pertinentes et censées, pour nous inciter à faire ce qui n’est pas bon pour nous ou pour nous suggérer de ne pas faire ce qui, au contraire, pourrait être bon pour nous.

 

Cette petite voix, on la considère comme celle du bon sens et de la raison, ou au contraire comme une voix angoissée d’un petit enfant inquiet, ou d’un adulte fragile, perdu, qui a besoin d’être rassuré et apaisé, ou d’un adolescent révolté qui cherche à s’affirmer, ou encore d’un expert dont l’expérience ne peut être mise en doute.

 

♦ Parfois encore, on associe cette petite voix à l’image d’un parent culpabilisant ou critique, donneur d’ordre, de leçon ou de conseil : « Tu dois… tu ne peux pas ne pas faire… tu te dois de… il faut que tu… »…

 

En bref, cette petite voix joue principalement sur le registre des doutes, des peurs et de la culpabilisation, mais aussi sur l’image de soi. En ce sens, elle peut alimenter une certaine «bonne image » que nous avons besoin d’entretenir en nous-mêmes, pour nous ou pour les autres !

 

Images du bon père ou mari, de la bonne mère ou femme idéale, du bon employé, du bon fils ou de la fille parfaite, que nous avons intériorisées et que nous allons nourrir et entretenir durant des années. Ça vous parle, non ?

 

Images le plus souvent nourries de peurs irréalistes, aussi peu réelles que ne le sont la plupart des peurs. Peur de dire, de ne pas dire, de faire, de ne pas faire, d’être vu ou jugé comme on ne le veux pas ou étiqueté de façon péjorative; peur de ne plus être aimé, d’être rejeté, d’être nié, et bien d’autres encore.

Mais comment donc ces petites voix, ces auto saboteurs sont-ils entrés dans notre existence ?

 

Parfois, très tôt, par des messages clairement négatifs (semblables à des refrains de chansons connues), ou pire via des messages plus ambigus, nous visant indirectement quand nous étions enfants ou à l’adolescence.

 

« Oh! Celui-là, il vous en fera voir !»
« Celle-là, on voit tout de suite qu’elle fera courir les hommes! »
« Celui-là, il faudra le tenir serré si vous ne voulez pas que ça finisse mal un jour!»
« Je n’en ai pas connu beaucoup comme lui, aussi têtu que son grand-père! D’ailleurs, dans cette famille, il n’y en a pas un pour sauver l’autre! »

 

Ces derniers sont à l’œuvre depuis l’enfance et semblent, aux yeux de certains d’entre nous, remonter si loin dans le temps que nous les confondons avec nos origines et les considérons comme faisant partie de nous-mêmes, comme inscrits dans nos gènes, comme participant à notre caractère ou à notre personnalité.

 

Rien de pire que ces étiquettes posées, ces injonctions énoncées dans l’enfance : ils deviennent dans nos têtes de véritables diktats qui vont nous définir en tant que personne et conditionneront en plus par la suite la plupart nos comportements relationnels. Les injonctions sont le plus souvent déposées par nos propres parents ou proches pour tenter de nous faire entrer dans un moule, pour arrêter une action répétée, contrôler l’irruption des pulsions. Elles peuvent être imposées avec beaucoup d’amour (un amour inquiet, envahissant ou possessif!), mais rarement avec respect, et souvent avec autorité.

 

Certaines injonctions sont déposées non seulement sur la personne, mais aussi sur la famille, ce qui renforce parfois l’impact.

 

« Je me demande si cet enfant trouvera un jour quelqu’un qui l’aimera autant que moi! »
« Regardez-le, à peine quelques jours et il a déjà le caractère de sa mère! »
Mais il y a aussi, des ordres, leçons ou conseils qu’on s’auto-inflige, des interdits, des censures, ou même des défis qu’on s’impose seul : « non, t’arrête pas, t’as pas fini ton message.

 

Pas moyens de te reposer avant d’avoir fini ! » ou encore « tu le vois le carré de chocolat là, ben regarde le bien parce que tu n’es pas prête d’y toucher »…

 

Ce sont le plus souvent des moyens de défense pour faire face à une nouvelle personne, une situation de crise ou de stress, ou à un événement traumatisant, qui a brutalement envahi l’espace de vie privée ou professionnelle, auquel certains répondent par l’équivalent d’une politique de la terre brûlée pour éviter de craquer, de succomber ou de tomber plus bas.

 

Ces ordres, ces censures, ces interdits transformés en moyens de défense sont nécessaires peut-être au moment où on se les impose, ils sont des protecteurs ou des consolateurs utiles, mais ils vont se révéler être, par la suite, de véritables blindages, d’insupportables prisons qui enferment et inhibent les potentialités réelles. Un exemple : mon anorexie a été un moyen pour moi de me couper de mes émotions et donc de souffrir atrocement des conséquences de la mort de ma grand-mère…. Sauf que je me suis enfermée dedans, en m’injectant l’ordre de ne pas manger, de ne pas profiter etc… jusqu’à en crever pratiquement.

 

Et qu’est-ce que c’est dur de se libérer de ses propres injonctions !!!! Alors là, on est champion du monde de la fidélité à nos petits ordres qu’on s’inflige ! Peut-être en souvenir du petit garçon ou de la petite fille que nous avons été et qui a survécu grâce à elles. Ces injonctions, ces diktats nous ont protégés, aidés à traverser des phases délicates, et y renoncer serait nous rendre vulnérables et pire, souffrir, du moins le croyons-nous !

 

Chez certains, tout se passe comme s’il était important de réveiller le diable qui est présent en eux et qui va les déstabiliser, et leur donner également le sentiment qu’ils sont vivants, qu’ils existent, puisqu’ils « rament » ou qu’ils souffrent.
Quelles sont les causes de l’addiction à l’autosabotage ?

 

 

Voici quelques symptômes de l’addiction à l’auto-sabotage :– Évitement et/ou résistance,
– Quitter ou stopper une suite Evènements positifs,
– Peur du bien-être, du succès ou du bonheur,
– Ne pas agir quand un acte est requis ou indiqué,
– Indécision,
– Se sacrifier pour les autres,
– Désirer ardemment une certaine expérience, mais insister pour qu’elle prenne une            forme qui ne peut pas ou ne pourra pas fonctionner,
– Désirer quelque chose qu’ils n’obtiendront jamais s’ils continuent à faire ce qu’ils font,
– Ressentir que leur vie est sujette à une espèce de mauvais sort, qu’ils sont maudits,
– Se sentir nul(le), inutile et sans valeur,
– Ne pas changer leur comportement après qu’il est provoqué de nombreux problèmes        ou  échecs,
– S’aliéner les personnes qui peuvent leur offrir le plus d’aide ou d’avancement,
– Rechercher ardemment l’attachement mais éviter l’intimité,
– Avoir le sentiment que «ça ne collera jamais» ou qu’ils n’appartiendront jamais à un     groupe,
– Être attiré par des personnes non-disponibles,
– Perdre des amis ou des proches en sabotant la relation avec eux,
– Perdre des amis ou des proches qui ne peuvent plus endurer leur frustration de voir            une personne qu’ils aiment se placer constamment dans une trajectoire de rupture,
– Enclencher facilement un sentiment de honte,
– Tomber malade souvent, spécialement pour éviter des situations ou des choix épineux,
– S’autocritiquer,
– Refuser les traitements ou les médicaments aidants,
– Être particulièrement lent à rechercher ou utiliser des remèdes pour des maladies ou        des blessures.

 

Nous faisons tous ce genre de chose de temps en temps. Même une personne dépendante à l’autosabotage ne les fait pas toutes, mais elle se retrouve régulièrement bloquée dans une forme de ces patterns ou attitudes. Quelques traits de caractères récurrents chez les victimes d’addiction à l’auto-sabotage : Échec de l’attachement durant l’enfance

 

Chaque personne addict à l’autosabotage possède des antécédents de liens affectifs non-sécurisants avec ses parents ou substituts parentaux. Un enfant « sécure » est aidé pour trouver un équilibre entre le contact (intimité) et l’exploration (autonomie).
Quand les parents sont incapables de fournir un lien sécurisant, l’enfant est obligé de choisir entre l’un et l’autre !

 

Une autre stratégie que l’enfant peut développer est de devenir « lié dans la distance » – ne pas s’impliquer avec le parent en étant très occupé ou éloigné=> l’enfant sacrifie son intimité.

 

Une autre stratégie est de s’accrocher au parent tout en exprimant de la colère indirecte, subtile, ambivalente, préoccupante ou résistante=> l’enfant sacrifie son autonomie.

 

Les enfants avec des parents non-sécurisants ne se sentent pas en sécurité dans aucune des deux stratégies donc ils restent coincés entre des envies d’intimité et des envies d’autonomie. On peut appeler cela du lien désorganisé et désorienté.

 

Parents critiques, dans le jugement, colériques ou non-sécurisant

Nous ne sommes pas surpris qu’un parent abusif soit la cause de la détresse d’un enfant. De même, il s’avère qu’un parent qui fait peur est aussi alarmant et laisse l’enfant sans aucune stratégie efficace pour vivre. Avec un parent critiquant et qui fait peur, un enfant est, psychiquement, livré à lui-même.

Les personnes addicts à l’autosabotage ont conçu un système par lequel elles survivent à la déception écrasante, à l’abandon dévastateur, aux montées de désespoir, aux fréquentes séparations, à la peur, à être incomprises et mal entendues.

Leur système a même été suffisamment puissant pour résister aux chuchotements séduisants de leurs propres esprits, qui leurs disent qu’elles feraient mieux de laisser tomber complètement.

 

Les addicts à l’auto sabotage sont dépendants à ce système car il les a sauvés de la destruction.

 

Les addicts à l’auto sabotage sont en manque de l’état qui est créé par l’auto sabotage – l’évitement.

Quoi que ce soit qui puisse aider à l’évitement peut être ajouté au répertoire. Ils peuvent passer de l’ignorance d’une activité à son usage addictif en une nuit.

 

Vivre dans l’évitement perpétue l’auto sabotage. Pendant qu’ils s’affairent à éviter les choses, ils ratent l’annonce importante ; ils n’agissent pas dans les temps ; ils ne voient pas les signes subtils de quelqu’un qui pourrait être un ami ; ils attendent trop longtemps pour faire une réservation, etc.

 

De cette façon, ils tombent dans un cercle vicieux auto alimenté sans cesse, familier aux autres types de personnes addicts : le sabotage amène à l’évitement qui amène au sabotage qui amène à l’évitement, un peu comme être ivre qui mène à la culpabilité qui pousse à boire et qui rend ivre.

 

extraits de Calorie pholie . com

 

 

Si le cœur vous en dit

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MÉMOIRE DE VIE 6.

 

MÉMOIRE de vie 6.

 

Son chemin d’évolution,  de transformation, de transmutation se dressait droit devant elle avec malgré tout son lot d’amertume, de découragement, de micros victoires, mais aura-t-elle le courage d’approfondir encore, parfois elle en doutait car les prises de conscience étaient si souvent douloureuses, inconfortables, qu’elle sentait que rien n’était gagné, que derrière tous ces filtres,  cette protection perpétuelle par peur de souffrir, elle y trouverait tout de même sa vraie identité, sa vraie nature et sa vraie place, celle qui avait toujours été niée par son père…il fallait avancer et nettoyer, établir une communication fiable et sereine avec elle-même.

Son corps lui parlait de plus en plus intensément, les douleurs étaient sourdes, constantes, provocatrices, insidieuses, ce « véhicule terrestre » devenait arrogant avec des messages en lien permanent avec toutes ses mémoires, avec toutes ses contraintes, ses non-dits, ses secrets, ses mensonges…

Mais où pouvait bien se dissimuler cette authenticité tant convoitée ? Cette honnêteté surtout envers elle-même qu’elle ne réussissait pas à apprivoiser, ni même à percevoir mais dont elle nourrissait le désir constant…

 

La petite voix intérieure se manifesta de nouveau : « Allez prends une Ressource fais un Ancrage et ne te cache pas derrière les émotions, vis les, acceptes de ne pas être forte ce n’est pas grave, aimes aussi cette partie-là de toi, elle est belle cette vulnérabilité, arrêtes de penser en victime, tu te souviens tu es 100% responsable de ce que tu vis et de ce que tu traverses depuis des années, c’est toi qui l’a mis en place, tu l’as créé …

Vas dans la sensation, ne la fuis pas, , tu veux continuer à Paraître ou à Etre, tu as envie d’OSER, de sortir de ta zone de confort, peut être que ça t’apportait un début de réponse ?«  Et bien celles-là de sensations merci la voix venue de nul part, ras le bol de ces douleurs diffuses, éparses, et dis tu pourrais parler un peu moins fort et un peu moins souvent, tu ne dors jamais ou bien ? c’est quoi ce bavardage incessant comme si tu invitais un cercle d’amis qui se baladeraient entre mon cortex et mon néocortex pour terminer dans la salle à manger de mon cerveau « reptilien », si tu pouvais faire aussi un autre sport que du vélo, ça m’arrangerait …. » 

 

Bref il lui arrivait souvent d’être excédée car elle ne s’autorisait pas à perdre le contrôle, son ego le lui interdisait formellement. Il fallait gérer, organiser planifier, diriger, avoir raison très importante avoir raison, faire le point, épargner, et oui épargner car sa peur de MANQUER ou de perdre était juste insoutenable, (pour info elle travaillait dans une Banque depuis 25 ans et son père dans les Assurances) …

 

Vous imaginez bien le contrôle de la forteresse, tout était carré, rien ne devait jamais dépasser ou sortir du cadre, sinon l’ex militaire de père venait y mettre son grain de sel et la petite se pliait de nouveau devant l’autorité qu’il était inenvisageable de contredire.

 

 A force d’avoir toujours fait semblant et d’avoir fait passer ses besoins après ceux des autres (schéma et modèle parental maternel), un jour de janvier 2015, le milieu professionnel vint réactiver violemment la blessure d’enfance du rejet, et tout ce qu’elle avait eu du Mal à Dire  durant toutes ces années parla à son corps et à son âme sous forme de pathologie, la « petite fille »  venait de glisser dans un abysse d’une profondeur extrême,  et au fil des jours elle s’enfonçait dans un tsunami émotionnel dans lequel les peurs les plus profondes se réactivaient les unes après les autres,  la prostration, la neurasthénie allaient hanter son quotidien durant des mois.

 

Elle ne savait pas encore que la maladie cherchait à la guérir…peut-être avait-elle confondu besoin et envie ? Mais quel était le message ? Qu’avait-elle à comprendre, qu’allait-elle en faire de cette « Dé-Pression » ? Elle n’allait pas passivement vivre dans cette douleur psychologique et physique perverse et extrême simplement par loyauté familiale ! Le signe était clair, violent mais clair…l’action n’était pas loin…

@ELIANE DENIAU ROUSSEL♥

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DÉPENDANCE AFFECTIVE

DÉPENDANCE AFFECTIVE

Peur de la séparation, peur d’être seul, peur de quitter ou d’être quitté

Selon Laïla Bapoo tels sont les principaux symptômes de la dépendance affective. Et certaines personnalités en sont plus sensibles que d’autres

Ce besoin irrépressible de l’autre dans la relation masque une dépendance affective. Et prêt à tout pour ne pas perdre l’être aimé, pour ne pas se sentir abandonné, le dépendant affectif est capable d’endurer les pires situations plutôt que de mettre un terme à une relation toxique. Selon Cristina Marques, ancienne dépendante affective et aujourd’hui thérapeute spécialisée, le dépendant affectif attire bien souvent un partenaire pervers narcissique. Et ces deux personnalités souffrent d’une blessure affective acquise durant l’enfance.

 

Tandis que le dépendant affectif s’accroche à l’autre pour ne pas être abandonné, le pervers narcissique évite de s’attacher pour se protéger de l’abandon. La relation est, de ce fait, co-dépendante. Loin d’excuser le comportement du pervers narcissique, la thérapeute a tenté de le comprendre pour apprendre à mieux se connaître.

Derrière son comportement toxique, le pervers narcissique cache aussi un besoin d’être aimé et un manque affectif. Son assurance marquée masque un manque de confiance en lui évident. Le pervers narcissique manipule, rabaisse, humilie parce qu’il s’est construit ainsi inconsciemment.

Renouer avec soi

Pour lui, son comportement est normal et son attitude, automatique. Souvent, l’un de ses parents était lui-même pervers narcissique, le conditionnant à reproduire le même schéma dans sa relation. Idem pour le dépendant affectif, c’est le conditionnement parental qui a cristallisé ce manque en lui. Le vrai besoin du dépendant affectif est, avant tout, de prendre conscience de ce manque et d’intégrer le fait que ce n’est pas à son partenaire de le combler.

Enfants, nous avons appris que le besoin d’amour d’autrui était important pour exister. Pour plaire à l’autre et être aimé, le dépendant affectif s’est, quant à lui, renié en s’oubliant. Il doit, par conséquent, apprendre à exprimer ses besoins sans accuser l’autre.

 

Il doit se responsabiliser dans ce qu’il vit avec son partenaire pervers narcissique. C’est lui qui a cautionné ce comportement. Tant qu’il accusera l’autre, il se placera en tant que victime. Voir l’amour qui se cache derrière le comportement du pervers narcissique est un premier pas vers la guérison pour Cristina Marques. Resté figer dans la haine et la colère est stérile. Prendre conscience de cet amour, certes malsain, ne signifie en aucun cas accepter le comportement du pervers narcissique. Le dépendant affectif doit, au contraire, imposer son respect et ses limites. Il doit comprendre que c’est lui qui accepte la situation et que l’autre ne le blesse pas de façon intentionnelle.

 

Soit il autorise l’autre à continuer, soit il exige le respect quitte à le perdre. L’autre pas vers la guérison consiste à renouer avec soi et à apprendre à s’aimer. Le pervers narcissique n’est qu’un miroir. Il reflète une partie de son partenaire. Ce que le dépendant affectif lui reproche, il le cautionne pourtant. Reconnaître les aspects que le pervers narcissique voit en lui comme des croyances intrinsèques acquises durant l’enfance, permettra au dépendant affectif de commencer un travail sur lui-même. Si l’autre est pervers envers lui, c’est qu’il est lui-même pervers à son propre égard.

 

Il a attiré inconsciemment un partenaire qui nourrit ses croyances négatives vis-à-vis de lui-même. Plus le dépendant affectif reniera le manque d’amour envers lui-même, plus il sera en manque et plus il cherchera à le combler à l’extérieur. Or, les autres aiment de leur façon et non de la façon dont on aimerait qu’ils nous aiment. S’aimer, c’est être authentique dans la relation même si on déplaît à l’autre au risque de le perdre. Parfois, l’amour pour soi est de rompre avec une relation toxique. Le vide affectif est en nous et personne d’autre que nous-même ne pourra le combler.

With my Endless Love   @Eliane Deniau Roussel

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MÉMOIRE de VIE 5.

…la Programmation Neuro Linguistique retint son attention plus particulièrement car elle avait déjà fait des séances dans le rôle de la patiente et…. Le fait de s’intéresser au comment plutôt qu’au pourquoi d’un comportement résonnait très fort chez elle, et pour cause l’écho contraire lui revenait comme un boomerang depuis 40 ans…

 

Cette notion d’esprit de Cœur, d’Ame, d’Univers, que tout dépend de nous l’interpellait, elle avait intégré que seule l’explication d’un problème ne suffisait pas à le résoudre, cela restait intellectuel et elle pressentait que la boite à outil que lui proposait la P.N.L, comme l’observation des comportements et du langage, le choix de nos mots, le verbal,  le para verbal, le non verbal, l’attention portée à nos émotions, sensations, la visualisation…. allaient lui donner des clefs  à la fois pour mieux se comprendre et comprendre les autres, gérer ses difficultés de façon pragmatique et utile, mieux observer et tenir compte du contexte, des enjeux et de ses propres modèles d’interprétation, être responsable de ses actes… et peut être allait-elle cesser d’aboyer chaque fois qu’on lui adresserait la parole…

 

En effet de ce qu’elle avait pu expérimenter auparavant, la PNL permettait de mieux communiquer au sens large, de prendre conscience de la façon dont on était en interaction avec le monde autour de nous, pour y exister dans le respect de Soi et des autres, aussi différents pouvaient-ils être en apparence.

 

Elle y voyait une palette aux innombrables couleurs qui lui consentirait de colorier son monde et de le rendre plus attrayant que les chemins habituels, de faciliter ainsi l’accès de certains endroits encore inconnus et d’en améliorer les zones d’ombre. Grinder et Bandler (les créateurs de cette « attitude méthodologique ») l’avaient bien compris, que c’est parce que nous créons à partir de nos expériences des programmes, des habitudes des schémas et des automatismes que nos comportements ont une structure que nous pouvons modéliser, transférer ou modifier, étant mémorisés grâce à nos 5 sens et que notre mémoire est faite d’images, de sons, de goûts, de sensations, que nos états émotionnels sont déterminés par nos perceptions sensorielles, la qualité de notre « cinéma mental » et tout cela se manifeste au travers de nos habitudes de langages et c’est au moyen de ce langage que nous donnons un sens à ce que nous vivons.

 

Mais quelle est votre réelle intention ? Voilà la première question qui lui fut posée lorsqu’elle décida de rejoindre une formation PNL : « et bien retrouver une structure, un centrage, une force intérieure, développer mon potentiel afin de pouvoir enrichir les autres de mon parcours » voici sa réponse …

 

Elle ne voulait plus négocier, ni avec elle-même ni avec les autres, elle souhaitait faire la paix avec sa dualité, lui ouvrir les bras, la cajoler, à l’intérieur du « terroir de l’âme » elle entendait déjà susurrer la vérité, l’amour et la joie, mais elle devait passer par le contraste pour remplir sa « mission », elle n’était pas son comportement elle était bien plus vaste. Sa « boite de stockage » allait être chamboulée…et le JEU / JE en valait la chandelle.

Elle percevait de plus en plus fort  que l’autre n’était que la projection d’elle-même,  elle rechercherait dorénavant l’authenticité même si ça piquait encore un peu…

Un matin de Mai elle fut réveillée à nouveau par cette petite voix frêle qui lui titillait l’oreilleAutonomie et dépassement de Soi ça te parle ? C’est le jeu tu te souviens auquel tu t’es inscrite ! Oups ! pas si vite, je dois me mettre en condition répondit elle « oui on a bien compris c’est pour ça que tu t’es fait  accompagnée en voiture ce matin par ton mari ?… il va falloir revoir ta copie ma douce si tu souhaites faire partie de l’aventure » le message était passé …de travers mais passé !

 

 

Durant tout ce JEU / JE,  son intimité allait devoir se déshabiller pour mieux se vêtir ensuite, de façon plus adéquate et appropriée , au travers d’une nudité symbolique, elle eut à se dépasser constamment face à des expériences de dépouillement total, chaque fois le doute apparaissait accompagné de son lot de défis permanents, oppressants, des sentiments d’impuissance dé-raisonnée, de manque de confiance, d’incertitude, de peurs viscérales, faisaient leur apparition tout au long de ce voyage initiatique de la connaissance de Soi.

Mais lorsque la victoire du JEU / JE montait sur scène, un feu d’artifice éclaboussait son visage de sa lumière scintillante et réconfortante, une sensation infinie de douceur envahissait son corps, elle avait réussie, elle avait surpassé, elle avait dépassé, elle avait transformé, elle était là face à son enfant intérieur, fière et courageuse, ils se prenaient la main ils se parlaient enfin !!!

Une réconciliation semblait envisageable, voire amorcée, mais la traversée d’elle-même n’était pas terminée.  L’authenticité avançait timidement et à prendre naissance dans son ADN et tout commençait à devenir plus limpide, fluide et léger, une clairvoyance jamais ressentie auparavant était en train de naitre.

La libération et la satisfaction s’ancraient doucement, suivies d’une énergie insoupçonnée, des larmes de joie finissaient inexorablement leur cascade  sous une pluie de fous rires…

 

 « La petite fille serait-elle en train de mûrir, de grandir, de s’épanouir ? S’étonna la douce voix « invisible » « pour continuer le jeu je t’ai apporté des images, laquelle choisirais tu ? et pourrais-tu m’écrire ce qu’elle t’inspire en utilisant le terme Authenticité ? car c’est bien de cela que nous sommes en train de parler ? Ta quête ? la panacée, Non ? et bien …. « je choisirais la photo de la feuille en contre jour avec le ciel » répondit elle,  et mon ressenti est le suivant :  » dans l’authenticité de son chemin de vie, la feuille a la joie d’accueillir tantôt l’ombre et tantôt la lumière, de s’incliner pour se faire caresser par le soleil et de se tenir droite pour embrasser le ciel « ,

à peine l’écriture du texte terminée , la « feuille »  ou plutôt l’image de cette feuille fut emportée par un coup de vent pour finir sa course dans le « ventre » d’une piscine… Les synchronicités de la vie sont amusantes n’est-ce pas » ricanât la « dolce voce »….

 

@ELIANE DENIAU ROUSSEL♥

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MÉMOIRE DE VIE 4.

…Un jour de mélancolie particulière, elle se remémora le décès de son grand père, elle avait 17 ans, sa peine avait rempli ses yeux de nombreuses semaines et pour exorciser sa douleur elle se mettait à chanter sur un disque de Céline Dion, comme elle avait d’ailleurs coutume de le faire quand les chagrins étaient trop forts, et elle sentait l’énergie remonter comme la sève,  on entendait son sourire renaître sur ses lèvres, à travers sa voix,  mais cet élan de vie  la maman Cormoran le stoppa ce jour-là, elle  pénétra dans la chambre et cria : « mais tu n’es pas folle de te mettre à chanter à tue tète avec la fenêtre ouverte, que vont bien penser les voisins, ton grand père est à peine enterré »…. Elle se rendit compte qu’aux yeux de ce clan, le jugement d’autrui était bien plus important que la peine ressentie.

 

LE « qu’en dira-t-on » avait bercé sa vie, le regard de l’autre avait toujours eu une place prépondérante, une palme d’or et dans cette dualité qu’elle ressentait, à quel moment cette jeune fille pouvait-elle enfin trouver l’équilibre de devenir celle qu’elle aspirait tant à Etre, quand le paraître et le statut social étaient en train de modeler voire modéliser son identité ?

 

Les années s’écoulèrent dans le lit d’une rivière toxique, car au fil du temps elle avait abandonné son pouvoir aux autres, pensant que c’était la bonne et l’unique solution et ce pour quelques miettes d’attention, son corps ne lui appartenait plus et n’avait comme envergure que le désir de l’autre, elle s’oublia, se nia au profit du besoin d’autrui, tout comme sa mère l’avait fait auparavant du reste, elle était consciente de rejouer des scènes de film ne lui appartenant pas et pourtant elle continuait à accepter l’inacceptable : le manque de respect !

Elle se meurtrissait, se cognait dans l’autre, parfois pour se punir, parfois pour combler ce vide béant qui la tourmentait chaque jour, de poésies lugubres en chagrins perpétuels, elle autorisait l’autre à faire et à choisir a sa place comme une orpheline sans repères, passant des ténèbres à la lumière aussi rapidement qu’une étoile filante. Persuadée que l’autre, à l’extérieur, quel qu’il soit, trouverait LA solution à SA place, en SON nom, qu’il serait LE remède. Elle traînait avec elle de façon latente, quotidienne et généalogique ce vague à l’âme que les rimes de Baudelaire ou Rimbaud nous rappellent si durement.

 

Elle pensa même un jour que le déracinement pouvait être une issue, quand par soi-disant amour, elle décida de suivre à l’étranger l’homme qui deviendra le père de son enfant, c’est vrai fuir loin, très loin c’est une solution comme une autre pensait elle…mais dans les « valises » il n’y avait pas que des vêtements…il y avait tous ces schémas répétitifs qui collaient comme une double peau ! Tant pis, il était temps de grandir, de s’affirmer, de se tester, de se positionner, de risquer…mais pour aimer sincèrement « il faut être courageusement vulnérable » et le jour du mariage elle comprit qu’elle aurait pu « se tester » et « grandir » d’une manière bien plus douce et bienveillante, l’euphorie s’envola en une poignée de secondes, sa vulnérabilité elle,  demeura….

 

« Dis-moi jeune fille, il est peut-être temps de se Re-veiller » lui rappela la voix de lait qui chantait si souvent à son oreille, si on faisait un petit exercice, fais-moi la liste de ce que tu aurais aimé savoir avant… ? avant quoi ? « Avant de m’incarner  …. » pourquoi pas répondit elle au point où j’en suis…

Et bien :

  1. Si j’allais choisir d’être ou de paraitre
  2. Si j’allais construire ou bien détruire
  3. Si j’allais rayonner ou bien éteindre
  4. Si j’allais être moi ou le reflet des autres
  5. Si j’allais être mouton ou bien bergère
  6. Si j’allais choisir la vie ou laisser la vie me choisir

En fait nous ne sommes pas là pour apprendre mais pour nous souvenir n’est-ce pas ? c’est cela que tu veux que je comprenne ?« Absolument c’est pour ça prend le temps qu’il te faudra, personne ne te jugera, j’aimerais te poser une autre question vue que le premier exercice semble t’avoir plu…si tu avais une baguette magique qu’en ferais tu ? »

Et bien …

Je me nourrirais d’amour inconditionnel d’échanges de partage, je ne fermerais plus les portes de mon antre/être à double tour pour me protéger, je jetterais les clefs, j’offrirais sans attentes, je recevrais, la beauté de nos cœurs se lirait sur tous nos visages et main dans la main toi et moi, moi et Tous les autres nous pourrions construire notre environnement à l’image de nos pensées, légères joyeuses, libres de doutes, de craintes, l’univers serait à nous et nous serions l’univers, j’aurais confiance, j’accepterais sans jamais me nier toutes ces belles étoiles qui constituent notre personnalité, je ferais confiance, je choisirais qui je veux être vraiment, je serais juste pour moi et pour les autres, j’ouvrirais la fenêtre de mon âme au coucher du soleil, je saurais regarder l’autre comme une partie de moi, j’annihilerais le jugement, je sourirais à toutes les expériences car nous sommes autant de créateurs  acteurs et spectateurs et pour finir je transformerais la peur en force et le doute en détermination, mais où veux-tu en venir avec tes questions pour le moins étranges petite voix ? « Arrête avec tes interrogations et suit ton ressenti, il a toutes les réponses, maintenant j’aimerais que tu me fasses la liste de ce que tu déciderais de faire, d’être ou de construire à partir d’aujourd’hui pour réussir ta vie et dans quels domaines ? Ne réfléchis pas, le mental n’est pas invité à ce petit JEU / JE .., Sois toi, avec toi, pour toi… »

 

Et bien …

  • J’aimerais être une mère aimante, moins angoissée, bienveillante, compréhensive, emplie d’amour et qui saurait guider son enfant quel que soit la situation qu’il aurait à traverser.
  • Éradiquer la peur malsaine qui me relie encore à la maladie et transformer cette angoisse en pouvoir
  • Etre une amie de valeur à qui on peut tout confier, capable d’aider avec amour et sans jugement
  • Etre une épouse ou une compagne tolérante qui sait accompagner son homme et l’aider sur le chemin de la transformation et de l’élévation spirituelle
  • Je souhaiterais me construire un état de vie élevé être sereine épanouie et heureuse…je sais c’est bateau … « cesses de te juger continue »
  • Choisir de croire suffisamment en mes capacités sans avoir recours à l’allopathie
  • Transformer la peur de manquer par la joie de donner et de partager
  • Etre une femme qui applique ce qu’elle décide en mettant fin à la procrastination
  • Construire une force inébranlable quel que soit l’événement à gérer
  • Transformer la peur en courage d’aller toujours plus dans mon ressenti sans que l’émotionnel s’installe « c’est bien tu avances »
  • Je voudrais sentir briller en moi la force de l’univers et la chaleur du soleil
  • Réussir à mettre en place une activité professionnelle qui me permettrait de m’épanouir dans les relations humaines de cœur à cœur pour aider les autres à dépasser leurs peurs « ok commences déjà par t’occuper des tiennes …ensuite tu aviseras »
  • Décider de ne plus être habitée par des sentiments d’avidité de colère ou de rancœur
  • Nettoyer mon karma et celui de toute ma famille pour libérer les tensions et les poids qui nous empêchent d’avancer et d’y voir clair
  • Etre un rayon de lumière et d’amour pour dissiper la haine
  • Choisir de cesser de me plaindre et d’être une victime pour devenir une femme courageuse et heureuse d’expérimenter la matière
  • D’avoir de la compassion et de la gratitude même pour ceux et celles qui m’ont blessé
  • Transformer mon comportement souvent agressif en amour inconditionnel

 « C’est tout ? Et bien dis-moi vaste programme, et à quoi serais tu prêtes à renoncer pour concrétiser tous ces beaux projets ?

Et bien …je choisirais de m’aimer, d’accepter mes forces et mes faiblesses ainsi que celles des autres et pour cela je renoncerais à m’auto détruire, à me nier et à me mentir…la petite voix laissa échapper un soupir de contentement« parfait ! je sens que tu es prête à passer à l’action » si on faisait un PREM ? pardon ? oui tu sais un projet Précis Réalisable Ecologique et Mesurable, ça te tente ? pourquoi pas…. » transformes ta pensée ma douce tu modifieras les conséquences… »

Ok je vais essayer… « Non tu n’essayes plus, tu actes désormais » Capito ? lui répondit la voix agacée…la laissant dans un silence déroutant…mais pour la première fois, elle commençait à sentir l’harmonie que procurait l’alignement des pensées des paroles et des actions…

 

Suite à ce monologue/dialogue interne, elle voulut continuer à aller à la source  de certains aspects de sa personnalité  qui devenaient inconfortables pour elle et pour les autres, elle expérimentait tout, elle se nourrissait et avait soif d’approfondir, d’avoir des réponses, de faire les liens, d’ateliers en ateliers,de méthodes de développement personnel en Reiki,  de constellations familiales en E.F.T, de Sophrologie en méthode Tipi, Nerti, Emdr, Dmoka, Art thérapie, journal créatif car l’art rend manifeste les vibrations de l’invisible…elle avançait vers sa future création….

 

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@ELIANE DENIAU ROUSSEL Auteure ♥

MÉMOIRE DE VIE 3.

Elle commençait à peine à comprendre…

…qu’elle était responsable de ce qu’elle vivait, elle continuait néanmoins à penser que rendre les autres coupables de ses déboires était bien plus confortable…en effet cette position de victime l’arrangeait la coquine… et elle savait aussi devenir bourreau à ses moments perdus , son Ego était le gardien de ses peurs, il avait pris possession de sa « partie matière » elle ne voulait absolument pas s’en séparer – bien trop pratique – tantôt elle fuyait tantôt elle attaquait en se faisant ainsi méprisante, arrogante en jetant son venin telle une vipère attaquée qui se défendrait…et projetant sur l’autre la faute et les menaces, mais l’autre n’était qu’un déclencheur, c’était la peine du petit enfant par rapport à ses fondamentaux qui n’avaient pas été respectés qui la faisait Ré-agir. Dire oui à son incomplétude pas possible encore. Elle voulait TOUT analyser, éplucher, disséquer, comprendre, décortiquer, son mental l’emmenait dans les méandres de ses tunnels sans qu’elle en soit consciente.

Le ressenti ….quèsaco ?

…dit-elle un jour à un thérapeute, visualiser ? ça prend combien de L ? « Et oui ma belle, la sensation est réelle et l’émotion est filtrée » lui répondit-il, elle eut l’impression qu’on lui parlait une langue étrangère, elle comprit alors que « son travail » avait commencé et qu’il ne durerait pas 9 mois …mais bien plus… Ses croyances étaient puissantes, elle niait sa partie divine, ne voyait absolument pas chez l’autre les belles et moins belles qualités qu’elle avait chez elle, elle continuait à se mentir et par conséquent à mentir aux autres, « et sans conflits à régler on ne vient pas s’incarner ».

Elle entendait ces mots qui faisaient écho dans son esprit et un dialogue interne s’installa :  « il est temps de choisir maintenant, travailles sur l’émotion et non sur l’interprétation qui elle découle du mental, cesses de vouloir tout maîtriser et interpréter, juste sens et observe » – elle luttait de toutes ses forces contre le fameux « lâcher prise », – le dialogue avec cette petite voix reprenait « la lutte est un outil qui permet le maintien du problème, le bien être c’est l’absence de lutte, la douleur ou la maladie ne sont que de simples informations, ton corps te demande de l’attention, Aimes ton équipe corps – mental – émotion,   tu peux choisir… glace vanille ou chocolat ? « Alors pourquoi continuait-elle à combattre ces manifestations….

trois conflits majeurs

En fait elle redoutait d’aller regarder en face un des trois conflits majeurs : ne pas être aimée, ne pas être acceptée, être jugée ou trahie. « Et oui on en est tous là…ou presque, car il y a ceux qui ne se poseront jamais de questions, alors sois heureuse d’avoir déjà quelques pistes et de te mettre en marche au lieu de râler constamment !  Tu sais la guérison c’est l’espace entre ton conscient et ton inconscient…laisses y entrer un peu de lumière tu verras bien…ou mieux… » il y a des deuils à faire c’est évident et tu y arriveras ! N’attends pas de résultat et ta résistance s’atténuera !

La nuit ne dormant pas, ces « causeries intimes » prenaient vie et elle se remémorait les notes, les expériences, les conseils prodigués en soin ou lors d’ateliers,  le « pourquoi » est culpabilisant, il oriente vers le problème ou la difficulté, si j’essayais le « comment » qui lui me dirigerait plutôt vers la solution et m’inviterait à réfléchir sur mon comportement, sur ma stratégie et non sur mon identité »…dans la pénombre on pouvait imaginer son visage esquisser une sourire….

Les jours et les mois lui semblaient des années, elle ne réussissait pas à valider les progrès et les petits pas qu’elle faisait, tranquillement, douloureusement, mais à son rythme, les prises de conscience se bousculaient pourtant, elle voulait aller vite toujours plus vite, comme si on pouvait donner naissance à une meilleure version de soi m’aime  en quelques semaines avec des programmes et des schémas qui étaient installés depuis des décennies ; le chemin était sinueux, et les cailloux nombreux.  Il y avait tellement de sujets à traiter, le respect, l’estime de soi, la confiance en soi, les domaines étaient aussi vastes que les prairies de Patagonie.

 

Elle se décourageait parfois, soupirait souvent…se taisait fréquemment…reformulait ses monologues internes….elle savait pourtant pertinemment que la plupart de ses peurs étaient inconscientes et que celles-ci conditionnaient fortement Sa relation aux autres et sa personnalité, et qu’elles gêneraient des stress,  des angoisses, des souffrances psychologiques ainsi que des dysfonctionnements physiques que son corps lui rabâchait en boucle, mais comment pouvait elle repérer avec précision Ces/Ses peurs, …car la majorité d’entre elles cessait d’agir dès qu’elle en identifiait la cause. Cette identification se heurtait justement au mode d’exploration qu’elle adoptait pour aller à leur rencontre, elle tentait de comprendre ses difficultés intellectuellement alors que ce sont les sensations et elles seules qui pouvaient la conduire directement et avec justesse à l’origine de ces/ses angoisses.  ..

Quoi ? Aller dans le corps, écouter, marcher en conscience ? ça veut dire quoi ? elle s’aperçut rapidement que le paraître avait bien plus fait partie de sa vie qu’elle n’aurait pu l’imaginer, comme modèle il y avait eu l’abnégation d’une mère qui avait occulté ses besoins fondamentaux si forts que la maladie puis la mort furent l’unique possibilité libératrice, puis un père « absent », cartésien, rationnel, logique, dialectique, et dictateur qui a pensé toute sa vie que les besoins se mesuraient essentiellement à l’abondance pécuniaire…à tel point que l’imprévu, la spontanéité, l’insouciance et l’authenticité avaient été des thèmes largement écartés des conversations familiales……………….

 

@ELIANE DENIAU ROUSSEL♥

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CHOISIR DE GAI RIRE

CHOISIR DE GAI RIRE

Nul autre que vous

ne peut réellement Choisir de « Gai Rire » et c’est au travers de Votre  ♡  de  votre corps et de votre Âme qu’il va falloir passer afin de demander la « permission ». Pour retrouver l’Unité avec votre « Equipe » Corps, Mental, Émotion et atteindre la Conscience rattachée que vous ne faites qu’UN avec ce qui vous entoure, vous devez donner votre accord, rien ne peut se faire sans VOUS.

 

Mais d’abord vous devez commencer tout doucement, respectueusement par vous réconcilier avec vous-même, avec toutes ces parties sombres et lumineuses qui vous composent et font de vous un être exceptionnel.

Accueillir votre vulnérabilité, votre fragilité passagère comme des cadeaux et non comme des fardeaux car c’est grâce à ces « présents » inconfortables que la métamorphose peut est envisageable, sans eux, sans cette sortie de zone de confort on n’apprend moins vite qui l’on est vraiment, notre regard reste identique face aux problématiques rencontrées, répétées, renouvelées …

 

Tandis que lorsque l’on trébuche, que ça fait mal, il est juste de remercier l’élément déclencheur, car il est salutaire, il cherche simplement à vous faire expérimenter d’autres stratégies qui vont vous conduire à plus d’harmonie, d’autonomie, de sérénité. A mettre en lumière tout ce qui est devenu obsolète et ne vous sert plus. Cela va vous consentir d’avoir du temps afin de réévaluer Votre vie, Vos BESOINS essentiels qui n’ont pas été nourris depuis très longtemps…de vous créer une réalité différente.

 Démantèlement des fondations

J’aime bien appeler cela le démantèlement des fondations, on fonctionne avec certains programmes et des schémas pendant des décennies, en ayant la certitude absolue qu’ils servaient notre plus grand Bien et l’on s’aperçoit, au travers de la pathologie qui vient s’inscrire dans le corps comme un Cri puissant parfois, que finalement nous n’en avons plus besoin. J’ai envie de dire bonne nouvelle, vous avez franchi un Cap.

 

J’entends tellement souvent les mots combat, lutte (exemple de ma mère par exemple :« je vais lutter et combattre le « crabe » qui me ronge ») … comment est-ce possible d’envisager un quelconque retour à l’harmonie, à l’équilibre avec un vocabulaire si peu approprié à ce que la pathologie est venue nous enseigner et nous transmettre comme message…

 

Accueillir en revanche dans l’amour et la lumière me semble plus opportun et moins sévère pour nous même. Toute pathologie a un rôle, une mission, du rhume au pied cassé en passant par la dépression, acceptons de décoder, dans l’amour de soi par amour pour soi, ce langage particulier mais pour le moins enrichissant en aimant et en chérissant chaque cellule chaque molécule de notre Etre profond même si aujourd’hui il est un peu « cassé »…

 CHOISISSEZ VOUS

Ne restez pas dans le déni de Vous, choisissez-vous, votre pouvoir guérisseur est présent mais endormi, ne baissez pas les bras, autorisez-vous à vous reconnecter à votre puissance Sacrée, elle est en chacun de nous et n’attend qu’à être réveillée et c’est souvent une « maladie » qui est à l’origine de nouvelles perceptions et je dis tant mieux ! Élevez vos fréquences vibratoires en vous connectant plus à la nature, en faisant des activités destinées à votre épanouissement personnel, en disant je t’aime plus souvent, en écoutant la musique qui vous fait frissonner …La boite à outils qui vous est proposée par les praticiens en énergétique n’a pour vocation que de vous « rebrancher » à votre propre pouvoir d’auto guérison, vous n’êtes pas seules. 

 

Eliane Deniau Roussel    Avec toute mon affection

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MÉMOIRE DE VIE 2.

  MÉMOIRE DE VIE 2.

 

Le besoin de communiquer s’est toujours « imposé » à elle comme une évidence, une source intarissable de partage, de richesse, de compréhension qui relie les êtres humains, un moyen indispensable pour comprendre l’autre à travers soi, car sans la lumière que propose cette introspection et cette investigation personnelle, il est « difficilement possible »  d’établir une quelconque relation avec autrui sans risquer de trébucher, commençons par éclairer nos cœurs…la voie n’en sera que plus lumineuse….

Tout notre être parle et donne un sens à notre communication, le rythme de la voix, les expressions du visage, la position de notre corps… il ne faut pas réduire la communication entre deux personnes essentiellement au verbal pensait elle,  il existe aussi la communication non verbale, riche de sens. Les mots que nous utilisons pour nous exprimer exercent un effet direct sur nos pensées, alors soyons vigilants car toute mauvaise semence finit par y grandir.

Les multiples comportements de chacun d’entre nous sont enclins à de nombreuses croyances, bagages éducatifs qui nous collent à la peau et à l’âme, comprendre toutes les raisons qui animent nos attitudes erronées quotidiennes semble Im-possible, néanmoins cette envie de déchiffrer restait selon elle la clef nécessaire pour ouvrir certaines portes et voir ce qui se cache derrière ; courage, ténacité, honnêteté, authenticité, bienveillance sont des valeurs qui vont servir ou « asservir » cette soif et cette quête de compréhension de soi et des autres. L’amour et le respect restent des facteurs déterminants à toute ébauche d’échange et sont des atouts précieux et indispensables pour emprunter le chemin de cette découverte, de cela elle était convaincue.

Quand le besoin se fait viscéral et quand l’odeur nauséabonde de ces eaux troubles devient insoutenable alors un sentier s’offre à nous comme un cadeau, un don de soi aux autres et pour les autres.

L’interprétation et le malentendu, sources de conflits, sont des polluants qui contaminent instantanément toute forme de communication et de relations, c’est pourquoi il y a une dizaine d’année elle eut envie d’aller décortiquer les « dessous » de nos mots/maux et de nos différences. Une première décision fut prise à cause ou grâce à la pathologie mortelle de sa mère cormoran (qui deviendra donc cors-mourant), elle comprit à ce moment-là que si elle ne nettoyait pas ses blessures, dont certaines d’ailleurs, elle s’en apercevra plus tard, n’étaient même pas à elle, sa survie était en péril. Elle se posa alors 3 questions fondamentales :

QUI JE SUIS AUJOURD’HUI ?  QUI JE VEUX DEVENIR ?  QU EST-CE QUI M’EN EMPÊCHE  ?

Elle était fermement décidée à y répondre, une ébauche de bilan vu le jour…mais voulait elle continuer à être dans la résistance ? ce qui lui apportait souffrance, doutes, craintes, colère, inconfort, contraintes…ou souhaitait-elle vraiment expérimenter l’acceptation, à savoir, l’amour, la joie, la légèreté, la bienveillance, la fluidité, la tolérance, la lumière….et bien l’univers prendra  en compte plus tard son interrogation et lui enverra les anges gardiens dont elle avait besoin pour grandir…

Son enfant intérieur était tourmenté car on lui avait demandé de se taire pendant de nombreuses années, esseulé et mal compris, celui-ci réagissait vivement à chaque contrariété, le chemin s’annonçait tortueux…

@ELIANE DENIAU ROUSSEL♥

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