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MÉMOIRES DE VIE 1.

Le premier jour D’OCTOBRE…

elle ouvrit les yeux sur ce monde qu’elle avait choisi de venir expérimenter et les premiers mots qu’elle entendit furent « faites un choix on ne peut pas sauver les deux c’est la mère ou la fille » c’était plutôt sympa cette arrivée sur Gaia, la chevauchée s’annonçait sportive …

Le second ressenti fut lui aussi un tant soit peu « hostile », en effet quelques jours après voir prit connaissance de ce nouveau véhicule terrestre, que finalement elle avait réussi à s’accorder… un carillon d’un autre siècle retentit au-dessus de son couffin, un bruit insoutenable s’engouffra alors dans la chambre, d’une vibration intense et brutale, secoua le berceau, c’était le bruit de la sonnette du cabinet médical familial, un patient venait de s’installer dans la salle d’attente, elle comprendra rapidement que le sommeil allait devenir compliqué car elle avait tout de même pris ses précautions la coquine…elle était venue « se personnifier » dans une famille de médecin… histoire de conjurer le mauvais sort certainement, si toutefois un jour elle tombait malade …elle ne se souvint plus que la pensée était créatrice elle l’apprendra plus tard, ….    

  L’anagramme GUÉRISON / SOIGNEUR était déjà ancré sans qu’elle ne s’en souvienne, elle avait tout à « Ré-apprendre »…

   Tout au long de ce nouvel apprentissage, elle cohabitera souvent avec les maladies, les siennes et celles des autres, sans vraiment connaitre le sens profond de ces manifestations, elle subissait, figée plutôt qu’elle n’agissait, car tout l’environnement conspirait à ne lui offrir qu’un remède…l’allopathie – les Mé Di Ca Ments – et dans médicaments il y a Ment… Ce petit bout de vie jonglait d’otites en angines, elle souffrait, pleurait, ne dormait jamais pour cause bonjour le boucan !

  Le « Pantharei »(laisser couler la vie) ou même le Carpe Diem était un mode de vie qui existait peu, voire pas au sein de ce clan, le moindre détail devenait drame et les non-dits prenaient une place prépondérante, pourtant le latin et le grec faisaient lettres de noblesse dans cette famille…l’étymologie avait dû leur échapper…

Alors en grandissant elle expérimenta toute sorte de pathologies, comme pour rester plus proche du nid, fidèle à la loyauté familiale qui faisait d’elle une petite victime chouchoutée que l’on devait protéger sans cesse des aléas extérieurs, car il avait été décrété que le monde dehors était dangereux pour cette enfant fragile, peureuse et vulnérable… allez Bim, les collages d’étiquettes commençaient. Sa mère lui vouait un amour oblatif. Cet enfant avait choisi un utérus en manque d’affection pour colmater la carence affective d’une maman « cormoran ».

NOTRE PETIT MOI

notre petit MOI

 

Nous traversons tous des expériences difficiles voire insupportables avec souvent l’impression de revivre, sous une forme différente, ce que nous connaissons déjà. Ces ressentis se présentent à nouveau pour être nettoyés et transmutés. Ce sont des occasions uniques qui nous invitent à nous déployer encore davantage et à grandir en conscience. Ces moments nous offrent l’opportunité de nous transformer véritablement. Aussi douloureux soient-ils, ils sont une promesse de changement profond et une véritable bénédiction divine.

Ce qui souffre à l’intérieur de nous est notre petit « moi » qui se sent subitement dépossédé de ce qu’il avait minutieusement construit pour garantir sa sécurité. Notre égo est sans cesse en train d’élaborer des plans pour se mettre à l’abri car il se sent menacé en permanence.

C’est pour cette raison que nous nous accrochons à tout ce qui peut être perçu comme une sécurité. Alors nous nous identifions à notre corps, à notre personnalité, à notre argent, à nos rôles, à notre partenaire, à notre travail, à notre voiture etc… et lorsque quelque chose vient entraver le bon déroulement de ce que notre mental avait si bien planifié, nous nous sentons désemparés et perdus car cela ne correspond absolument pas à ce que nous avions prévu.

Voici une citation très éclairante du livre Un cours en miracles :

 « Rien de réel ne peut être menacé,
   Rien d’irréel n’existe.
   En cela réside la paix de Dieu. »

Ce que nous sommes en profondeur ne peut donc nous être retiré ni disparaître. Notre essence divine ne peut être affectée, ni mourir car elle existe pour toute éternité. Notre pure conscience n’est jamais menacée. Ce qui se retire et auquel nous résistons est irréel et illusoire.

Ce sont des parties de nous qui meurent car elles deviennent trop encombrantes et nous empêchent de poursuivre notre chemin vers la lumière.

Nous avions tellement cru que nous étions notre couple, nos enfants, notre entreprise, nos émotions, etc… que lorsque ces identifications se retirent, nous nous sentons totalement démunis et désemparés car nous y avions déposé toutes nos illusions. Nous avons donné tout notre pouvoir à l’extérieur et leur perte est insupportable.

« Le changement n’est jamais douloureux. Seule la résistance au changement est douloureuse. » Bouddha

Nous avons des idées préconçues sur la façon dont nous devrions vivre, nous comporter, sur nos enfants, notre partenaire… Nous nous construisons des structures mentales très rigides qui, tôt ou tard, deviennent nos propres prisons.

Nous ne laissons pas la vie être ce qu’elle est, telle l’eau d’une rivière qui coule librement. Nous construisons des barrages intérieurs et nous n’en avons même pas conscience. C’est alors le début de la souffrance car c’est comme si nous essayions de faire entrer un rond dans un carré. Nous nous faisons violence car nous refusons de voir les choses simplement telles qu’elles sont. Nous nous obstinons à interférer dans les plans que Dieu a prévus pour nous. Pourquoi vouloir rivaliser, négocier ou marchander avec l’Intelligence infinie ? (Lire l’article « S’aligner sur l’ordre divin »)

Notre souffrance apparaît donc lorsque ce qui est, ne correspond pas avec l’idée que nous en avions. Nous voulons continuer à vivre sur des illusions, persister à croire que cela ne devrait pas être ainsi. Avons-nous seulement oublié qui nous sommes vraiment ? Nous sommes des êtres de lumière qui ne peuvent rester trop longtemps enfermés dans l’étroitesse de leur conception mentale car nous sommes la vie et la vie est en perpétuel mouvement. C’est une illusion de penser que nous pouvons barrer la route à l’eau de la rivière qui trouvera de toute façon un moyen de traverser le barrage. Nous sommes nos propres bourreaux mais c’est de cette façon aussi que nous apprenons. C’est ainsi que nous prenons conscience de nos rigidités, de nos inconsciences et de nos limitations.

Si j’écris un texte sur la souffrance cette semaine, c’est parce que je viens de traverser un épisode très douloureux. En effet, une mémoire que je connais bien, s’est réactivée.

Nous avons souvent tendance alors à accuser la personne ou les circonstances extérieures qui semblent être la cause de nos maux. Nous nous positionnons en tant que victime et nous condamnons l’autre ou les autres alors qu’ils ne sont que les porteurs d’un message. Comment peut-on blâmer le facteur qui nous porte exactement le courrier dont on a besoin pour grandir ? N’avez-vous pas remarqué les nombreuses formes qu’empruntent les messagers tout au long de notre vie mais, qu’au fond, le message reste le même ? L’extérieur vient seulement mettre en lumière ce qui existe déjà à l’intérieur et qui a besoin de jaillir pour être libéré.

Alors il est nécessaire de prendre toute la responsabilité de ce que l’on ressent sans se culpabiliser.

Cet épisode m’a donné l’occasion de m’accompagner moi-même et de me positionner, non en tant que victime mais avec cette intention profonde d’être totalement présente à ce qui est sans essayer de fuir ni de combattre. J’ai vu l’égo à l’œuvre et ses supercheries pour essayer de s’en sortir. Il est tenace et déterminé à ne pas perdre la face.

J’ai observé, sans jugement, tous les stades que j’ai traversés : tristesse, peur, colère, sensation de vide, désir de marchander avec la réalité et peu à peu l’acceptation. Dans les premières heures, ce fut le choc. Mon cœur  battait très fort et des tensions sont apparues dans mon corps et notamment à l’épaule droite. Malgré le stress, je souhaitais vivre cela en toute conscience. Cela voulait dire ne pas me laisser totalement submerger par la vague de l’illusion mentale et en même temps coller à la vérité de mes cellules en essayant de ne pas déformer la réalité que je vivais dans mon corps. Et laisser remonter, les unes après les autres, toutes les couches émotionnelles. Essayer d’être pour moi-même un espace d’accueil illimité en ne forçant rien et en ne retenant rien.

J’ai allumé une bougie de la vierge Marie et j’ai beaucoup prié. Je ressentais un grand besoin de recueillement. Je ne souhaitais pas m’extraire de moi-même mais au contraire être pleinement là pour moi. J’ai refusé certaines sollicitations extérieures, non par masochisme, mais au contraire par amour pour moi car j’étais la seule capable de véritablement m’assister avec l’aide de Dieu. Alors je Lui ai offert toute ma souffrance. J’ai prié avec tout mon cœur et ma sincérité. Au milieu du désarroi, je L’ ai senti à l’intérieur ainsi qu’autour de moi. J’ai senti son étreinte et c’était exactement ce dont j’avais besoin. 

Quand on se sent complètement submergé et en insécurité, on se contracte et on cesse de respirer, comme si on était en apnée. Il est donc conseillé d’aller dehors, de marcher ou de courir pour s’oxygéner. Pour ma part, je ne suis pas sortie car j’avais besoin de rester pleinement présente à ce que je vivais. Je sentais aussi qu’il était bon d’essayer de créer un tout petit peu d’espace et d’envoyer de l’oxygène dans cette souffrance. Alors j’ai inspiré et expiré plusieurs fois profondément. J’ai aussi ressenti qu’il était nécessaire que je prenne un bain avec du gros sel (qui permet de se délester de ses énergies négatives).

Entrer dans l’eau chaude m’a instantanément détendue et je me suis laissé porter par la douceur de ce moment. Ma bougie était là près de moi, j’ai fait brûler de l’encens et j’ai tamisé la lumière.

Ensuite j’ai médité et j’ai essayé de contacter ma lumière intérieure. Cela a été difficile mais quelques effusions m’ont traversée et cela a été suffisant pour m’adoucir un peu. Dans ces moments-là, faire juste ce qu’on peut est suffisant.

La plupart du temps, nous refusons de ressentir notre souffrance. Nous souhaitons nous en débarrasser et la mettre à l’écart. Nous sommes effrayés par elle comme si elle était démoniaque. Pourtant, si au lieu de la fuir, nous essayions d’entrer en communion avec elle, tout pourrait être différent. (Lire l’article « Faire la paix avec ce qui est »)

« La souffrance est inévitable. Elle découle de l’accomplissement des plaisirs. Il ne faut pas chercher à lui échapper. C’est seulement quand j’entre en communion avec la souffrance que je la comprends. Plaisir et souffrance ne peuvent être séparés. »  Krishnamurti

Lorsque nous sommes en souffrance, nous avons parfois honte de ce que l’on ressent, nous avons l’impression que nous sommes anormaux, fous et que personne ne vit des choses aussi terribles. Alors on se sépare de l’univers et de nous-même. On se sent indigne d’exister et d’être aimé. Mais au fond, nous sommes tous semblables. Même si la forme de nos expériences diffère, nous traversons tous des moments très douloureux qui sont aussi les moments les plus fondateurs de notre vie.

« C’est bien d’être dans une phase de difficulté. Difficulté est un autre mot pour évolution. Même les êtres les plus évolués se retrouvent face à des épreuves de temps en temps. En fait la difficulté est un signe pour eux qu’ils sont en train de grandir. C’est l’indication de leur progrès réel et important. Celui qui ne vit pas d’épreuve est celui qui ne grandit pas. Donc si vous êtes en difficulté en ce moment, voyez cela comme un signe formidable, et célébrez votre épreuve. » Neale Donald Walsch

Il m’est apparu lors de cette expérience, que le plus important est ne pas s’abandonner soi-même. Rappelons-nous tout ce que nous avons déjà vécu et la force dont nous avons fait preuve pour reprendre sans cesse notre route. Souvenons-nous le nombre de fois où nous sommes tombés et qu’un soutien invisible nous a fait renaître de nos cendres. Devenons notre propre parent. Embrassons-nous et apportons-nous ce que l’on souhaiterait recevoir de l’extérieur. Puissions-nous créer un espace à l’intérieur pour grandir, évoluer au lieu de nous rétrécir. Pourquoi ne pas remercier ces moments de souffrance qui nous offrent une occasion unique de grandir ?

Nous nous sommes incarnés en tant qu’être humain pour avoir la chance d’expérimenter toute la palette des émotions. Alors n’ayons pas peur de crier, de pleurer, de rire, de souffrir, d’être en colère et de chanter ! Cela ne veut dire que l’on va projeter sans cesse nos émotions à l’extérieur mais simplement nous permettre de les laisser nous traverser comme l’eau dans la rivière.

La souffrance nous indique que nous sommes vivants et que la Vie, dans son infinie bonté, nous invite à nous déployer encore davantage. La souffrance nous montre que nous sommes en mouvement et en constante évolution. Nous sommes vivants et nous le serons toujours ! (Lire l’article « La vie est une fête »)

Nous sommes venus sur terre pour vivre quelque chose d’exceptionnel ! Et non pour nous méfier de chaque pas que nous faisons par peur de nous blesser, n’est-ce pas ? A quoi cela nous servirait-il de vivre dans du coton ? La souffrance ne nous pousse t’elle pas à nous dépasser ?  Nous sommes des êtres vivants avant tout !

Prenons notre souffrance dans nos bras et invitons-la à danser avec nous.
Elle est notre maître, elle est notre chance et la promesse d’un « portail vers l’infini ». (Mooji)

Alors, pour rien au monde je ne laisserais ma place ! Et vous ?

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PNL et SYNCHRONISATION

PNL et SYNCHRONISATION

Aujourd’hui j’ai choisi de vous parler de la Synchronisation.

C’est une technique qui consiste à reproduire certains comportements verbaux, para verbaux et non verbaux de notre interlocuteur afin d’établir de façon rapide et efficace le rapport avec lui. C’est utile dans beaucoup de domaines qu’ils soient privés ou professionnels.

La synchronisation est une manière très puissante en effet de « rentrer en contact » et favoriser ainsi une communication plus aisée avec l’autre.

Il existe 3 sortes de synchronisation

Tout d’abord intéressons- nous à la synchronisation Non Verbale, qui consiste à reproduire les comportements non verbaux de l’autre notamment via :

  • ses macros comportements: postures, gestes, mouvements du corps, respiration, soupirs, expressions du visage, inclinaison du buste etc…
  • ses micros comportements tels: contraction des muscles du visage, clignement des paupières, mouvements des yeux etc…

Des expériences ont montré que d’être en synchronisation non verbale avec une personne permet d’établir un contact avant même d’avoir commencé à parler… expérimentez et vous verrez, c’est bluffant !

En deuxième point la synchronisation Para Verbale

De plus en plus la voix prend de l’importance, d’ailleurs la relation téléphonique nous amène à développer cette synchronisation. Elle revêt une importance capitale puisque l’interlocuteur n’est pas en face de vous, et cela donne souvent lieu à des malentendus ou des interprétations erronées quant à ce qu’il ou elle tente de nous communiquer comme message.

Pour se synchroniser sur le canal auditif basez-vous sur :

  • le volume de la voix
  • la vitesse d’élocution ou de tempo
  • le rythme de la voix qui indique de quelle façon respire la personne
  • les pauses, les inflexions
  • la « hauteur » de la voix : grave ou aigue

C’est grâce à la détection du rythme de la voix que vous pourrez « couper » la parole à un interlocuteur qui a un débit rapide par exemple pour pouvoir avoir l’espace de reformuler.

En troisième lieu arrive la synchronisation Verbale qui elle consiste à mémoriser et reprendre le vocabulaire de votre l’interlocuteur : phrases, expressions, tournures, mots clefs…

De cette manière c’est comme si vous rentriez un peu dans l’univers de l’autre, dans sa vibration, et vous captez ainsi quel est son moyen de communication de prédilection, auditif, visuel, kinesthésique etc…cela demande de l’attention et permet de se « brancher » plus facilement  avec le ressenti de l’autre.

PREDICATS ET VAKOG

Cela nous amène tout naturellement à parler des Prédicats, oui je sais il est étrange ce nom mais il correspond tout simplement au chemin que l’on utilise pour nous rendre à notre boite de stockage de la communication. On l’appelle VAKOG (cf ci-dessous – Visuel – Auditif – Kinesthésique – Olfactif – Gustatif). Ce sont les mots que l’on utilise régulièrement au quotidien et qui vont déterminer le canal sur et avec lequel on communique, nous en avons généralement 1 ou 2.

Je m’explique, quelqu’un qui est plutôt canal visuel utilisera le vocabulaire suivant : apercevoir, apparaître, dépeindre, regarder, voir, distinguer panorama, perspective, clarifier, imaginer etc… la liste est longue je ne mets que quelques termes mais vous comprenez bien l’idée.

Celui qui est plus canal auditif dira souvent : écouter, entendre, alarmer, amplifier, crier, discuter, mettre l’accent, mettre le doigt sur etc…

En revanche celui qui utilise la canal kinesthésique (toucher) ce sera : agripper aplanir, bouger, brancher, frapper, souligner, tâtonner, caresser etc…

Celui pour qui le sens olfactif est prédominant utilisera les : émaner, embaumer, enivrer, exhaler, flairer, percevoir, renifler, sentir, parfum, senteur etc…

Et pour finir celui pour qui le gustatif est le canal par lequel il communique le mieux utilisera : aspirer, boire, croquer, déguster, délecter, désaltérer, goûter, lécher, sucer, savourer….

Amusez-vous à demander à votre ami (e) un souvenir de vacances par exemple et noter le maximum de mots qu’il ou elle utilise pour narrer son souvenir et vous constaterez rapidement sur quel canal il ou elle a pour habitude de communiquer, car  mettre en place un niveau de relation fondé sur la confiance et l’écoute active c’est important, imaginez les malentendus que cela peut entraîner si vous vous avez pour habitude de communiquer par exemple sur le canal visuel avec une personne qui elle utilise les prédicats de l’auditif …sans mauvais jeu de mots vous allez avoir des difficultés à vous entendre …

J’espère que ces quelques clés vous aideront à mieux communiquer et à mieux comprendre pourquoi parfois l’autre ne vous comprend pas… nous ne sommes tout simplement pas « branchés » sur les mêmes canaux de communication.

@Eliane Deniau Roussel 

 

NOTA BENE  : Si la Programmation Neuro Linguistique vous intéresse pourquoi ne pas essayer de commencer par  « la PNL pour les Nuls », Romilla Ready et Kate Burton en parlent très bien et c’est très accessible et amusant.

 

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MÉTHODE HISTORIQUE SÉANCE

 MÉTHODE HISTORIQUE SÉANCE

La Méthode

La programmation neuro-linguistique (PNL) est un ensemble de techniques de communication et de transformation de soi qui s’intéresse à nos réactions plutôt qu’aux origines de nos comportements. Elle privilégie le comment au pourquoi, propose une grille d’observation pour améliorer la perception que nous avons de nous-mêmes et des autres. Elle permet également de se fixer des objectifs et de les réaliser. C’est une boîte à outils, dont la clé réside dans le langage et l’utilisation que chacun de nous fait de ses cinq sens et de son corps. Son but : permettre de programmer et reproduire ses propres modèles de réussite.

Historique

La PNL a été mise au point en 1972 par John Grinder, professeur de linguistique, et Richard Bandler, mathématicien et psychothérapeute. Les deux hommes avaient décidé d’étudier les excellents résultats obtenus par certains professionnels de la psychothérapie et de la communication, parmi lesquels Fritz Perls, le fondateur de la Gestalt -Thérapie Milton Erikson Le père de la nouvelle hypnose.

Bandler et Grinder résolurent de réunir en une seule méthode les éléments disparates identifiés chez ces as de la communication, afin de définir les termes d’un savoir-faire conduisant à coup sûr au succès. En France, l’enseignement de cette technique s’est surtout développé par le biais de séminaires destinés aux cadres, négociateurs, pédagogues ou thérapeutes, ainsi qu’à tous ceux qui désiraient acquérir des techniques de communication efficaces, applicables dans leur vie quotidienne.

Déroulement d’une séance

La PNL fait partie des thérapies brèves (de deux séances à deux ans de consultation maximum). Lors d’un entretien préalable (gratuit ou à tarif réduit), le patient est invité à déterminer ses motivations et à se fixer un objectif à atteindre au cours des séances. Pendant ce temps, le thérapeute observe son patient, afin de savoir quel système sensoriel il privilégie. Chacun d’entre nous est en effet soit visuel, soit auditif, soit kinesthésique – il perçoit l’environnement principalement par la vue, l’ouïe, ou ses émotions –, et crée ainsi son propre filtre, à travers lequel il interprète les événements. Le thérapeute s’adapte alors au mode de communication de son patient, pour le guider dans l’exploration de ses comportements et lui permettre de les reproduire consciemment ou de les modifier si nécessaire.

 

 

La PNL propose avant tout de mobiliser les ressources de notre inconscient. Ces dernières sont constituées d’expériences ou de connaissances oubliées, de dons encore inexploités qui ne demandent qu’à s’exprimer… Le patient doit donc renouer avec la performance, c’est-à-dire avec sa créativité et sa capacité à s’adapter à une situation. Cela s’appelle la «modélisation». Mieux connaître les moments où l’on se sent efficace et compétent permet alors de construire une «boîte à outils», dans laquelle on puisera à loisir au moment de faire face à une situation difficile.

Exemple

Une patiente se trouve trop grosse. Ici, l’objectif de perdre du poids doit être formulé de façon affirmative et positive : « Je veux retrouver ma vitalité et ma forme. » La patiente définit ensuite ce qu’elle recherche en poursuivant cet objectif : porter d’autres vêtements, améliorer sa silhouette, se sentir mieux, etc. Puis elle détermine les ressources qui sont à sa disposition pour atteindre son but et décrit avec précision les éléments qui lui permettront de savoir si ce dernier a bien été atteint (son reflet dans la glace, le chiffre sur la balance, la sensation de porter un vêtement dont elle rêvait depuis longtemps…).

Par une série de questions, la PNL permet ainsi d’affiner un désir initial pour s’assurer qu’il correspond véritablement à un objectif qui mérite d’être poursuivi. Au cours des séances, le thérapeute et le consultant s’assureront que des objectifs intermédiaires sont satisfaits, afin de construire une amélioration continue qui se manifestera concrètement dans la vie quotidienne.

Mais modifier ses comportements passe avant tout par la pratique. C’est pourquoi il est courant de devoir faire des exercices entre chaque séance. Exemple : pour améliorer votre relation avec les autres, observez leurs conversations habituelles, afin d’en déterminer les points forts et les points faibles. Ainsi, quand vous rencontrez une personne pour la première fois, étudiez le ton de sa voix, sa posture, le choix de ses mots, le rythme de sa respiration… puis efforcez-vous de vous y adapter. Votre échange devrait s’améliorer. Cet exercice, recommandé lors d’entretiens jugés « difficiles » ou impressionnants, permet également de mieux écouter les personnes qui vous sont proches et de découvrir de nouvelles façons de vous adresser à elles, pour vous faire mieux comprendre ou leur signifier que vous les avez comprises.

Indications

La PNL est particulièrement efficace pour résoudre des problèmes ponctuels : se remettre d’une rupture ou d’un deuil, préparer un examen, résoudre un blocage précis, sortir d’une série d’échecs, prendre la parole en public… Elle permet aussi d’affronter certains problèmes de santé ou de somatisation, les troubles d’une crise d’identité ou encore de se sentir plus à l’aise en société. Ses outils peuvent être utilisés seuls, mais ils sont souvent intégrés dans un processus global choisi par le thérapeute. Il n’y a pas de contre-indications , hormis les cas de troubles graves de la personnalité qui relèvent de la psychiatrie.

 

Source : Psychologies.fr

 

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LA CARTE N’EST PAS LE TERRITOIRE

LA CARTE N’EST PAS LE TERRITOIRE

LA PROGRAMMATION NEURO LINGUISTIQUE

En appliquant des méthodes simples, la PNL vous aidera considérablement et très rapidement à mieux organiser vos pensées et vos croyances car ce sont elles qui vous ont avant tout bloqué, qui vous ont obligé à stagner dans votre vie et à ne pas réussir à donner le meilleur de vous-même. Vous avez besoin de les modifier pour acquérir un ensemble de croyances dynamisante. Et non plus limitantes.

La PNL est une méthodologie élaborée par le mathématicien Richard Bandler et le linguiste John Grinder dans les années 1970. Le principe initial repose sur l’observation et le décodage des habitudes de ceux qui réussissent dans leur domaine pour pouvoir acquérir leur expertise et la transmettre.

Elle repose sur la mobilisation des ressources de l’inconscient dans lequel se nichent des expériences ou connaissances oubliées, des dons encore inexploités qu’il serait dommage de ne pas exploiter, dans le but d’atteindre les objectifs que l’on s’est fixé.

L’ENJEU

L’enjeu est d’identifier dans quel système de perception une personne se trouve pour enrichir le champ des possibles en fonction de l’évolution à laquelle elle aspire, un principe de base étant qu’on réagit toujours à une situation en fonction de la représentation qu’on s’en fait mais pas forcément pas en fonction de ce qu’elle est dans les faits. D’où le présupposé de la PNL, formule empruntée au fondateur de la « sémantique générale » Alfred Korzybski : LA CARTE N’EST PAS LE TERRITOIRE. La manière dont on perçoit une situation dépend notamment de filtres qui permettent d’orienter la manière de traiter l’information reçue selon l’objet de l’attention et l’environnement.

Ces perceptions génèrent des émotions (états émotionnels dits états internes), une réaction émotionnelle et comportementale (laquelle peut être un réflexe conditionné. On parle alors d’ancrage). Le tout constitue une expérience de vie. L’ensemble de nos expériences de vie fondent notre système de croyances, nos valeurs et in fine, notre vision du monde.

EXEMPLE DES METAS PROGRAMMES

Une démarche personnelle d’évolution peut porter sur une spécificité mise en lumière par la PNL, à savoir que ces éléments s’auto-entretiennent (les méta programmes influent sur nos émotions qui entretiennent des croyances et valeurs qui nourrissent elles-mêmes les méta programmes de perception). Il s’agira donc, le cas échéant, d’axer les efforts sur la désinhibition des croyances limitantes pour les remplacer par des croyances facilitantes.

Quel que soit le domaine d’application (personnel ou professionnel), La PNL est une formidable boite à outils pour apprendre à se servir de ses 5 sens, comprendre ce qui est important pour soi, définir ses objectifs, comprendre et utiliser ses ressources : son cerveau, ses émotions et son système de perception au service de ses objectifs. C’est une formidable opportunité d’élargir sa zone des possibles et d’accueillir sa vision du monde avec le projet de l’enrichir.

Paul Pyronnet, un des plus grands formateurs de PNL en parle très bien sur sa chaîne Youtube n’hésitez pas :

www.youtube.com/watch?v=KSKrq1PeQPY

 

@Eliane Deniau Roussel 

 

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DECRYPTAGE DE L’ACRONYME PNL

DECRYPTAGE DE L’ACRONYME PNL

 

Programmation Neuro Linguistique, elle permet de saisir et de modifier la manière dont les personnes apprennent, changent et se développent. C’est l’observation et la compréhension des manifestations orales et gestuelles. La PNL est un outil pour détecter et développer les potentialités humaines.

Programmation : tout au long de notre existence, nous nous programmons en mettant en place des répertoires de données composées de notre façon de penser, de ressentir et de nous comporter. Et nous utilisons ces répertoires dans différentes situations de notre vie. Nous pouvons, à ce titre, faire une analogie avec le matériel informatique : nous avons tous un cerveau et un système nerveux (Hardware); ce qui change, ce sont les programmes (Software) dont nous disposons pour nous servir de ce matériel. Ainsi fonctionne mentalement chaque individu.

Neuro : la capacité de nous programmer repose sur notre activité neurologique. C’est parce que nous possédons un cerveau et un système nerveux que nous sommes capables de penser, de percevoir notre environnement, de sélectionner nos comportements, et de ressentir les choses… Les procédures du travail de la PNL agissent directement sur notre organisation neurologique.

Linguistique : le langage structure et reflète la façon dont nous pensons. En effet, le discours d’une personne est riche en informations sur la manière dont celle-ci construit ses expériences de la vie. Grinder et Bandler, fondateurs de la PNL, ont étudié les relations entre le langage et la pensée et ont transposé ces connaissances dans le domaine pratique de la communication. Puis ils ont élargi ces notions à l’étude du langage non-verbal, qui n’est autre que la PNL.

 

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